La robolution
Avertissement: L'auteur que je prétends être est totalement fictif.
Avant toute chose, je voudrais dire qu'en tant qu'étudiant dans l'université de Columbia, j'ai passé plein de temps avec les robots et eu l'occasion de témoigner de leurs facultés extraordinaires. Donc je me range plutôt du côté de ceux qui plaident pour la robolution; pourtant, il y a des risques à prendre en compte. Afin de les examiner un à un, il vaut mieux commencer par la définition du mot robot: Un robot est, selon Bruno Bonnell qui est PDG de Robopolis, tout simplement une machine qui travaille pour nous dont le nom provient d'une racine slave signifiant "travailler". Dans ce cadre, les robots n'ont rien à craindre; pourtant, il faut comprendre qu'il existe des gens qui sont effarouchés par l'idée d'un combat possible du métal contre de la chair, ce qui est bien exprimé par le même Bruno Bonnell.
a d'autres personnes, évidemment plus rationnelles, qui ont la chair de poule vis-à-vis de pertes de travail qui seraient entraînées par l'essor de cette robolution, c'est-à-dire révolution robotique. Malheureusement, à vrai dire, les robots peuvent véritablement occasionner une catastrophe sans précédente en termes de crise économique. En outre, il y a des statistiques effrayantes mises en avant par Pierric Marissal dans son article "Les ouvriers trop chers, remplacés par des robots". Dans ce papier exhaustif et minutieusement détaillé, M. Marissal traite le même sujet d'une approche plus inquiète. Selon l'article, un sous-traitant d'Apple appelé Foxconn et d'autres compagnies de technologie de pointe envisagent de remplacer ses ouvriers par un million de robots, ce qui fait poindre une crise de chômage alarmante à l'horizon. Bien que les cadres de Foxconn rassurent que ces nouveaux employés métalliques ne vont faire qu'aider les ouvriers, et pas se sustituer à eux, les entrepreneurs les plus renommés tels que Bill Gates ne semblent pas soulagés. Il craint que quand les robots prennent le relai du monde professionnel, les employés les moins qualifiés ne seront inexorablement écartés et relégués aux ténèbres d'un chômage irrémediable. Pour lui, la société n'est pas prête à intégrer un changement d'une telle ampleur, explique-t-il.
A mon humble avis, les robots viennent avec ses pours et ses contres. La responsabilité d'adapter les robots au grand public tombe sur nous, les scientifiques. Je dois faire l'emphase sur ma phrase: adapter les robots au grand public. Quoiqu'il soit envisageable de préparer l'humanité pour la robolution, nous ne pouvons pas, pour des raisons éthiques, obliger des gens de se sevrer de leurs habitudes technologiques conventionelles et de s'accommoder aux robots; les robots doivent être adaptés à nos vies, et ça doit s'effectuer de la façon la plus subtile que possible parce qu'une intrusion immédiate des robots dans notre vie risque de déclencher une réaction sociale indomptable puisqu'il y a toute sorte de personnes dehors, qui sont anxieuses et réticentes à incorporer dans leur train train quotidien ces nouvelles créatures aussi intelligentes qu'artificielles. Comme vous pouvez voir de vos propres yeux dans le cinquième document les robots que nous sommes capables de fabriquer aujourd'hui, nous pouvons les maquiller de façon à leur octroyer une apparence physique humaine, ce qui provoque parfois de la répulsion chez certains. D'un autre côté, il y a des robots à l'apparence plus simple et, je dirais mécanique, dont les photos sont jointes au quatrième document et qui ne font pas douter de leur inhumanité et artificialité. Enfin, il y a des robots, principalement conçus pour la guerre, qui sont dotés d'une apparence affreuse et farouche comme ceux dans le document 6. C'est exactement de quoi il s'agit quand je parle de les adapter à notre monde parce qu'il y a une quantité innombrable d'avis distincts à ce sujet, des personnes répugnées par l'apparence réelles d'eux à celles qui préfèrent ces modèles réalistes.
Comments
Post a Comment