Guerrier (Poème)
Les soucis funestes me tuent, vite me taisent
Encore geint l'humeur toute sinistre, toute mauvaise
Brûle la fournaise dans ma tête, croule toute falaise
D'un avenir inconnu, vient ce malaise!
Si quelqu'un veut monter d'une montagne au pic
Faut-il un stylo, une lance, une pelle, un pic
Se cloîtrer de l'extérieur, de tout public
Se frotter les mains, en faire le diagnostic
Pour bien réussir s'en faut être comme le mulet
Ne connaîtrai-je l'échafaud ni les gilets
Grâce au travail! s'ouvriront tous les goulets
Ne m'arrêteront ni les balles ni les boulets!
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